Carnet

La nuit de la solidarité est une opération annuelle, à échelle nationale mais reposant sur l’initiative des collectivités locales. Son objectif principal est de dénombrer les personnes en situation de rue sur le territoire concerné.

Le 7 novembre dernier, Stéphane Renault et moi présentions la plateforme cartographique (et pas que) du GDR SILEX. La vidéo de notre intervention, que nous avions intitulée “D’une constellation hétérogène de lithothèques à une chaîne de traitement qualitatif des données de l’archéologie : l’exemple du GDR SILEX”, est désormais en ligne:

Voici en quelques mots les étapes à suivre pour changer d’instance Mastodon - et, par exemple, nous rejoindre sur https://mapstodon.space! Sur votre ancien compte, dans Préférences > Import et export > Demander vos archives.

Hier, pour la première fois depuis de nombreux mois, j’ai profité d’un vendredi soir particulièrement calme pour jouer sur l’ordinateur. Sans avoir jamais été un avide consommateur de jeux vidéos, j’apprécie de m’y adonner de temps en temps.

Cet été, la route des vacances passait en plein milieu du pays. L’occasion était trop belle pour ne pas faire le détour par le hameau de la Coucière, à Vesdun, dans le Cher: c’est ici que l’IGN situait en 1993 le centre géographique de la France continentale, celle qu’on appelle aussi Hexagone, c’est-à-dire la France métropolitaine sans la Corse.

Les animateurs du fameux (et prolifique!) podcast Geomob ont eu la gentillesse de m’inviter pour une conversation autour de mapstodon.space (voir ce billet pour plus d’infos sur le serveur Mastodon des cartographes).

(NB: ce billet emploie le féminin générique) Depuis le rachat et la reprise chaotique de Twitter par Elon Musk, entre choix contestés, licenciements massifs et erreurs d’appréciation, un nombre croissant de ses utilisatrices fuient le réseau.

En fouinant l’été dernier dans une bib­lio­thèque amie, j’ai décou­vert l’ex­is­tence d’un petit tré­sor car­tographique : les « tim­bres caoutchouc Jean-Pierre ». Présen­té sous la forme d’un cof­fret car­ton­né non daté, c’est un ensem­ble de tam­pons des côtes et fleuves de France.

J’ai croisé Michel Condeminas au niveau de Montgiscard. Ça faisait au moins deux écluses que je roulais avec Maxime, un gamin du coin vif et sociable. Maxime m’avait rat­trapé avec son VTT pour me pos­er des mon­tagnes de ques­tions sur le vélo couché, ma des­ti­na­tion, les voy­ages à vélo ou la vie en général, et me racon­ter à son tour la sor­tie de cyclo­tourisme en Bre­tagne avec sa classe l’an passé.

Récit d’un voyage en vélo couché au milieu de l’été 2017. 5 août Arles, Saintes-Maries-de-la-Mer, — Je sors du train à 8h du matin — pour éviter les faubourgs mar­seil­lais pénibles à arpen­ter en vélo Arles sem­blait un point de départ plus engageant,