A l’époque de la sortie d’Amethyst Rock Star, Saul Williams avait fait part à un journaliste de son rêve d’une langue universelle, comprise de tous, qui ferait tomber un peu plus les barrières… Et, poursuivant sa réflexion, constatait que la musique était bien ce langage sans frontières, qu’un musicien avait finalement un impact plus grand encore qu’un « homme de mots » comme lui.